… et pourquoi j’y suis allé ce jour

Les résultats du premier tour étant plus serrés que je ne l’imaginais, il existe une probabilité que le sortant et sa clique d’enragés soient réélus.

Renseignements pris, les travaux entre Paris et Dijon qui ont occasionné l’aléa ferroviaire d’il y a quinze jours, sont terminés. Cette fois, je n’aurais même pas l’excuse d’un manque de train (bien que toujours en manque d’entrain ).

Autant le dire tout de suite, j’ai autant confiance dans les capacités de François Hollande que j’en avais dans celle de Raymond Domenech avant la Coupe du Monde 2010.

Mais à tout prendre, je préfère un incompétent inoffensif à un incapable dangereux. Et contrairement à 2002, il ne s’agit pas, cette fois, de choisir entre la peste et le choléra mais entre un rhume des foins ostensiblement désagréable et la propagation intégrale de la chtouille attrapée il y 5 ans.

Dans deux heures, je serai dans le train. Avec ce seul leitmotiv : Au premier tour, on choisit, au second, on élimine.

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