La pandémie n’est pas encore terminée que tous les go-go penseurs de « l’avant » viennent nous parler de « l’après ». Et dans leurs prescriptions, on sent bien qu’ils n’aimeraient pas que ça change de trop pour ne pas perdre leur rentable business d’éditorialistes aux ordres, d’économistes de cour, de collapsologues autocentrés, de faux-diplômés narcissiques, de starlaids et de starlettes. Alors que pour « l’après », c’est ici que ça se passe !
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