Un truc vite fait qui m’empêche de dormir en ce moment : pourquoi tenter de qualifier, donc de hiérarchiser, les assassinats ? Qu’ils soient politiques, crapuleux, passionnels ou religieux, je suis de plus en plus persuadé qu’il faudrait tous les traiter sous l’angle du droit commun et réfuter d’emblée toutes circonstances qui se voudraient atténuantes voire légitimes. Quitte à ce que le procès les réintroduise. Voilà. C’est tout. Fais-en ce que tu veux, j’ai déjà autre chose sur le feu.
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